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« Nous essayons de rendre le commerce automobile aussi facile que possible » :
Joel Thiébaud VFAS Secrétaire Général interviewé par EUROCOC

Joel 1 | Joel Thiébaud VFAS Secrétaire Général interviewé par EUROCOC | EUROCOCVFAS – est une association suisse de commerce automobile indépendant. VFAS défend les intérêts du marché de l’automobile libre et ouvert et soutient toutes discussions susceptibles de profiter aux consommateurs. VFAS défend les intérêts des concessionnaires d’automobiles et des consommateurs sur le territoire de la Suisse. Chez VFAS, EUROCOC a le statut de partenaire.

Combien y-a-t-il de membres dans votre association et quels sont les objectifs de base de la VFAS ?

Plus de 100 membres dans toute la Suisse
L’objectif fondamental est d’assurer que les intérêts des opérateurs indépendants soient respectés dans tous les domaines. Cela signifie que nous luttons contre toute forme de bureaucratie et que nous essayons de rendre le commerce de l’automobile aussi facile que possible.

Quel est le plus gros problème pour vos membres, étant donné que la Suisse ne fait pas partie de l’union européenne, mais est tout de même entourée par les pays limitrophes l’UE ?

Aucun problème ! =)
Par contre, ce qui peut poser problème pour certains réside dans le fait que les lois et les règlements européens ne sont pas valables en Suisse. Il existe donc des règles spéciales pour, par exemple, la mise en circulation d’une voiture. Cela ne peut se faire simplement avec un COC comme dans l’Union européenne car nous devons nous conformer aux exigences de la loi suisse.

Les concessionnaires suisses ont longtemps été considérés comme des partenaires efficaces et dignes de confiance. D’où vient-elle cette réputation ? Y a-t-il quelque chose de particulier dont les autres pays pourraient s’inspirer ?

Il est important de faire preuve de bonne fiabilité dans le travail quotidien : Ne dites pas seulement que vous achèterez une voiture, que vous la paierez ou que vous irez la chercher – dites quand et où, puis, faites-le ! Fixez des conditions ainsi les responsabilités aléatoires à chaque contrat que vous signerez, puis réfléchissez en avance aux éventuelles difficultés liées à l’achat avant qu’elles ne deviennent réalité ! Soyez honnête avec vos partenaires et agissez comme si vous souhaitiez travailler avec eux durant les 100 prochaine années – c’est-à-dire durablement !

Quel est actuellement le plus grand défi pour les vendeurs de voitures suisses ? Est-ce la taxe environnementale récente ? Ou peut-être l’appréciation du franc suisse ?

Tous représentent un défi, même si aucun d’entre eux ne les fera s’effondrer. Nous avons également été couronnés de succès lorsque le taux de change du franc suisse était d’environ 1,60 CHF/EUR – et nous travaillons toujours avec succès également avec nos taxes CO2. Le plus grand défi serait une combinaison des effets négatifs : Pour résumer, la nouvelle taxe CO2, accompagnée d’un taux de change élevé et peut-être d’autres facteurs, représentent toujours des obstacles. Mais si cela se réalise, ce serait vraiment de la malchance …

Quel pays est le plus grand partenaire commercial pour les commerçants d’automobiles suisses ? Y a-t-il un développement dans ce domaine ?

Nous ne pouvons pas vous donner de chiffres à ce sujet, étant donné que les fournisseurs changent vraiment rapidement. Nos membres agissent vite et sont en mesure d’acheter toutes les voitures demandées aux meilleurs prix. À l’heure actuelle, les pays du nord et de l’est de l’Europe sont favorisés – parce qu’ils sont les moins chers. Cela peut être dû à des charges fiscales différentes ou des prix moins chers de la liste des fabricants eux-mêmes. Les pays où une crise économique est prévue ou est en cours – comme la Grèce ou Chypre en ce moment – sont également intéressants. Cela ne nous aide pas seulement à obtenir de bons prix, mais aussi à augmenter le chiffre d’affaires pour les entreprises qui sont peut-être en difficulté en raison du commerce interne plus faible.

Dans des pays comme la Belgique ou les Pays-Bas, on voit beaucoup d’activité d’exportation au sein des vendeurs de voiture, tandis que les commerçants suisses semblent plus susceptibles de combler le marché Suisse avec des voitures. Pouvez-vous le confirmer ?

Absolument. C’est peut-être aussi dans la nature des pays du Benelux d’exporter plus avec leurs ports et leurs activités commerciales animées. A mon avis, l’une des raisons principales pour lesquelles nous n’exportons pas est : Le niveau des prix en Suisse qui est, par rapport à tous les pays de l’UE, très élevé. La raison de ces prix élevés est les facteurs de production coûteux : le travail et la terre ont des prix extrêmement élevés ici. Pour cette raison, il n’est pas vraiment intéressant pour quiconque en dehors de la Suisse de payer ces prix élevés.

Cet article sera vu par de nombreux concessionnaires suisses. Quel est l’avantage particulier de faire partir de VFAS ?

Tous s’entraident à rendre leur vie plus facile : Dans leur travail quotidien, ils bénéficient de chaque amélioration du cadre de commerce indépendant que nous atteignons. En outre, nous nous soucions également des problèmes individuels et des questions que nous traitons avec un rang de priorité élevé – nous serons toujours en mesure de proposer des solutions ! Et, enfin et surtout, chacun d’eux peut bénéficier des produits spéciaux de nos partenaires, tels que EUROCOC ! =)